Je me suis donc fait violence et ai réveillé, à grand peine, dois-je le préciser, le dernier neurone cacochyme douillettement emmitouflé pour l'hiver au fin fond du grand vide qu'est mon cerval
Les réminiscences d'un fort fort lointain passé, passé dans l'ingénierie et le génie civil, m'ont rappelé un vieil adage, qui, il faut bien le reconnaître, ressort plus d’un mantra d’un vaudou empirique concocté par la méthode Coué, que de toute forme de sagesse ancestrale : « si c’est fragile, t’y met une poutre, si c’est co fragile, t’y met deux poutres, si c’est co co fragile, t’y laisse tomber »
Voici donc le résultat de mes divagations : une enveloppe
On peut remarquer qu’elle a souffert, et pour cause : comme test de mise en charge, j’y ai délicatement posé mon postérieur et mes quelques cent kilos pendant un bon quart d’heure.
Le contenu semble intact
Et même si le contenant supérieur gauche semble avoir du résister à un moment d’écrasement…
Il est resté étanche
Le secret ? J’y ai mis deux poutres
Je vais en conséquence pouvoir recommencer les lancements de