J'ai eu des problèmes de fécondation de fleurs sur des tomates cultivées en pleins chants.
Poutant, je vocalisais tous les matins en bout de ligne, le son étant un phénomène ondulatoire, ma voie grâve et masculine faisant le bourdon, vibrait les fleurs les plus proches.
En bout de ligne, sur les 2 derniers pieds, white queen et noire de crimée, tiens donc une blanche et une noire
ont eu une panne de nouaison sur les bouquets 3 et 4. Pas mélomanes pour un sou les deux commères.
Pendant cette période, pas un brin de Zéphir, des T° équatoriales avec des pointes régulières à plus de 43°C et des nuits tropicales.
J'ai cru pendant longtemps que ces excès thermiques étaient la cause de mon malheur. Je finis par penser que si je m'étais déplacé jusqu'au bout de la ligne, j'aurai bien secoué en passant, soit avec les fesses, soit avec les épaules ,que j'ai bien plus larges,
ces damnés plants en bout de ligne que la T° élévée et ma flemme naturelle m'avaient fait surveiller de loin.
Aujourd'hui, je circule jusqu'au bout des rangs et comme je cultive très serré, c'est moi le vibreur de base.
Espiets a une serre de 9 m de long, avec ses grandes jambes, ça lui fait 12 pas à chaque traversée. C'est raisonnable.