Modérateurs : jeanmi22, JCBora, morpho
alors là, je m'incline,Chriscal a écrit :...
Mais préparer une purée d'ail, c'est au mortier et au pilon, et rien d'autre ...
oui, ça m'intéresse !Chriscal a écrit :Comme dirait Laurent, il suffit de cultiver les bonnes courges…
Il paraît qu'il existe des variétés dont les graines ne sont pas enrobées, mais je n'y connais rien.
Par contre, si cela t'intéresse, je peux me renseigner.
CTH a écrit :... j'ai, il y a une quinzaine d'années, essayé d'extraire la pulpe/jus de quelques kilos de griottes, sans passer par la case "dénoyautage". ça lui a pas plu du tout
maltraitance d'une moulinette Française ...! merci Laurent pour ton retour d'expérience, j'ai aussi essayé la Lady Govida il y a pas mal de temps, mais le semis n'avait pas marché (je soupçonne l'âge "avanvé" des graines que j'avais obtenu lors d'un échange sur un autre siteCTH a écrit :... sinon concernant les courges à graines nues, je ne connais que la Lady Godiva, qui n'est peut être pas la meilleure, ou en tout cas pas la plus performante en terme de rendement. Cette année on a essayé un hybride F1, 'Beppo'. supposé avoir plus de rendement (Baumaux), quand on en a ouvert un fruit la semaine passée, je me suis dit que ça devait être difficile de faire qqch de rentable au vu du peu de graines! surtout que la chair parait il ne vaut pas tripette...
), Alors qu’autrefois on avait accès à des cultivars évocateurs nommés Lady Godiva ou Streaker, aujourd’hui les semenciers en proposent des plus performants dont la Styrian ou la Kakaï.
, mais n'ai aps eu de problème de germination en tout casla "performance" évoquée provient sans doute du fait que son cycle est plus court,Espiets a écrit :J'ai cultivé la kakaï, la performance
Bigbird a écrit :je vais de ce pas préparer une séance de torture à mon vieux gaufrier "made in Belgium" !!!
Les pépins du soleil
Autrefois, les courges, en Styrie, avaient de gros pépins très épais qu’il fallait patiemment décortiquer un à un, si l’on voulait pouvoir en extraire de l’huile. On appelait cette fastidieuse opération kerndlschoarln, « l’épluchage des pépins » ! Par chance, après une mutation naturelle, une autre variété est apparue dans la région vers 1870 : la Cucurbita pepo var. styriaca. Cette courge dont les pépins sont bien plus tendres a trouvé son terroir de prédilection dans le sud-est de la Styrie (entre Voitsberg et Feldbach) et le sud du Burgenland (Jennersdorf), deux régions qui, comme la Provence, bénéficient d’un climat privilégié et d’un fort taux d'ensoleillement : à Graz, on compte plus de 2300 heures de soleil par an ! Autant qu’à Montélimar…
L’or vert de Styrie
Semées fin avril et récoltées fin septembre, les courges bien ventrues de Styrie peuvent contenir jusqu’à 100 pépins (il faut environ 2,5 kg de pépins – 30 à 35 courges – pour produire un litre d'huile pure). Après récolte, les pépins sont lavés, séchés, torréfiés puis délicatement pressés à froid selon un cahier des charges très précis (c’est là un autre point commun avec l’huile d’olive de Provence !). On laisse reposer le tout quelques jours et l’on obtient une exquise liqueur d'un vert profond, dont le goût intense de noix n’est pas sans rappeler… la petite touche de noix des huiles de Carpentras.
je soupçonne les graines de courges vendues à vil prix en sachet ou en vrac dans les magasins bioJCBora a écrit :...
Je suis étonné, car les graines de courge ne sont pas si chères que çà vu le rendement.
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